Les entreprises Construction Vergo, BLT Construction Services et Sprung Structures ont fait un don de 25 000 $ aux Ressources communautaires ACJ* par le biais de la campagne de collecte de fond "Building Blocks of Hope", le mardi 13 décembre. Situé à Saint-Eustache, l’organisme utilisera l’argent pour soutenir sa mission de combattre l’itinérance dans la communauté.
En présence de Carole Laviolette, vice-présidente de Construction Vergo, ainsi que de Liz Renaud, adjointe administrative de Construction Vergo, la directrice générale Marie-Claude Renaud a donc accepté avec grand plaisir ce don de 25 000 $ dédié à la maison d’hébergement Accueil communautaire jeunesse des Basses-Laurentides (AŒJ+). L’organisme, subventionné par le ministère de la Santé et des Services Sociaux (MSSS) ainsi que par la Ville de Saint-Eustache, pourra ainsi continuer d’offrir des services aux personnes en situation d’itinérance dans la région. « C’est pour offrir une place aux gens dans la rue, où ils peuvent venir durant le jour. C’est un endroit où ils peuvent être dans un milieu sécuritaire, où l’on répond à leurs besoins de base, en plus de compter sur une équipe d’intervenants qui peut les relocaliser et faire les démarches avec eux pour leurs papiers d’identité », a déclaré Marie-Claude Renaud lors de la remise du chèque. « La majorité des gens qu’on aide n’en ont plus », a déploré cette dernière. « On est vraiment fiers de remettre ce chèque », a pour sa part commenté Carole Laviolette.
UN SOUTIEN APPRÉCIÉ
Le don a d’ailleurs été effectué par le biais de la campagne "Building Blocks of Hope", une initiative de collecte de fonds lancée par BLT Construction Services pour soutenir les organismes de bienfaisance du Canada qui offrent un accès au logement aux personnes en situation d’itinérance.
Il s’agit donc d’un soutien inestimable pour les Ressources communautaires ACJ+, qui utiliseront l’argent dans le cadre d’un de leurs programmes. « Nous, on va l’utiliser pour le Répit de la rue, qui est notre hébergement d’urgence pour les 18 ans et plus. Avant la pandémie, c’était un refuge. Les gens arrivaient 17 h 30 et devaient sortir 9 h 30 le lendemain matin. Pendant la pandémie, tout était fermé, donc on leur permettait de rester en dedans. On s’est rendu compte qu’en faisant ça, ils peuvent vraiment plus se reposer, parcequ’ils ne passent pas toute la journée à chercher où ils vont aller et ce qu’ils vont faire », a expliqué la directrice générale pour plus d’informations sur les Ressources communautaires ACJ+, vous pouvez vous rendre sur le site https://www.acjbl.org.